Un groupe dans les oreilles |
Il n’y a pas de moyen fiable pour décrire GUCA, il faut le
vivre. Des groupes de musiques gipsy partout dans les rues, une ambiance de
feu, des gens partout sur la statue du trompettiste. Il y a beaucoup de
festival de musique mais Guca est vraiment différent. Le festival en lui-même
est gratuit, la bière 50 cl coute 1 euro et les rencontres sont légions c'est un bon départ. Mais c'est surtout cette musique gipsy qui nous entourent de partout qui font cette particularité.
Préparation chez Dusan |
Kino, Vinko, et Peterson |
Kino s’est installé avec nous dans le camping (enfin dans ma tente vu qu’il est arrivé en touriste complet), Vinko n’est resté que deux soirées mais notre première matinée à base de salade, fromage, charcuterie vin rouge fût mémorable dans cet havre de paix de camping chez l’habitant.
Mes amis des 38 Tonnes sont arrivés le jeudi soir et à partir de là nous avons passé notre temps entre inertie de groupe et prestations plus ou moins enflammées : le public donnant toujours le tempo.
Vous comprendrez qu’il est difficile de décrire ces 5 journées un peu folles, mais je retiendrai quelques images.
· Nos trois amies bulgares, danseuses officielles et infatigables de la fanfare
· Kino que je perdais toujours pour mieux le retrouver et dont je ne suis pas sûr qu’il ait dormi une seule fois au camping avec nous
· Jouer avec Srdjan Azirovic, accessoirement trompette d’or 2004, ami des 38 Tonnes en after au Lav café sur la colline.
· Le concert de Boban I markovic sous l’orage le samedi soir.
· Le dimanche soir, où nous étions le dernier groupe encore présent. Tout Guca nous suivant, ne voulant pas nous laisser partir pour avoir un dernier morceau.
Ambiance du dimanche |
La photo avant de partir chacun de son côté |
Je ne sais pas quand, mais une chose est sûre, je retournerai un jour à Guca.
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